
Deux hommes de 26 et 36 ans sont morts ce mardi 1er août alors qu’ils gravissaient l’une des aiguilles du Tour, sur le versant suisse du massif du Mont-Blanc.


Un alpiniste français de 26 ans et un autre âgé de 36 ans et originaire des Pays-Bas ont été tués dans la matinée de ce mardi 1er août par des chutes de pierres alors qu’ils tentaient de gravir le sommet sud des aiguilles du Tour, dans la partie suisse du massif du Mont-Blanc.
Évoluant chacun dans des cordées distinctes, les deux hommes ont tous les deux été mortellement percutés par un amas de pierres s’étant détaché quelques mètres plus haut du sommet surplombant le plateau glaciaire du Trient. Une autre alpiniste également néerlandaise a, quant à elle, été blessée et fut prise en charge par les secours.
Un drame d’autant plus soudain que ce sommet presque frontalier entre la Suisse et la France est un des pics les plus courtisés des cordées débutantes. Aussi facile qu’esthétique, le sommet sud des aiguilles du Tour (3 541 m) est d’ailleurs régulièrement fréquenté depuis le début de l’été par les alpinistes.
Le Dauphiné